mardi 1 novembre 2011

Beurrier (suite)

Extrait de "L'autrefois des cuisines de Provence, cheminées, potagers, piles, objets et ustensiles..." de Yves Fattori chez Édisud (2003). Excellent livre très joliment illustré par Aline Fabre. 
Ce type de beurrier n'était pas que breton ;-)
Et il y avait  un élément de plus dans le beurrier !

lundi 26 septembre 2011

Beurrier breton (un autre modèle)

Il a déjà été question de beurriers bretons ici pour conserver le beurre dans de l'eau salée, hors réfrigérateur.
Là, le principe est différent : le beurre ne baigne pas dans l'eau, mais bénéficie de la fraîcheur produite par la poterie gorgée d'eau.
Il s'agit d'une terre cuite non vernissée, une "cloche" en double épaisseur ( doubles parois avec réservoir d'eau qu'on remplit par les trous sur le dessus). Comme l'objet est poreux, l'eau va faire "transpirer " la poterie et créer de la fraîcheur suffisante pour garder le beurre à bonne consistance. Selon la température extérieure, le réservoir sera plus ou moins vidé rapidement, ça se voit à l'aspect de la terre cuite qui redevient toute sèche (on a quand même quelques jours de marge).
C'est grâce à ce forum que j'ai appris son existence... 
                                                            ( un modèle complet, source )
 ... Pour me rendre compte que j'en avais un, dont j'ignorais complètement l'usage et que je gardais en tant que "bel objet" ! Il manquait la coupelle, facilement remplaçable par une assiette
(comme quoi ça peut avoir du bon de ne pas se désencombrer trop précipitamment !)
Dès que le réservoir a été rempli (par les trous sur le dessus), la poterie s'est mise à transpirer et à reprendre du service après plusieurs décennies... Hélas, pour peu de temps car un objet lui est malencontreusement tombé dessus et a provoqué un éclat, difficilement réparable...
Le cas a été examiné à mon atelier de poterie et la réparation s'est opérée sous forme de motifs fixés à la colle. J'en ai profité pour lui fabriquer une coupelle et le beurrier a repris ses activités !
On voit bien la différence entre la partie sèche et la partie humide.


Le beurre est à consistance idéale et il n'y a pas les inconvénients de l'autre système
beurre qui se détache de son compartiment et baigne dans l'eau, eau à changer...
 


jeudi 15 septembre 2011

Marmite norvégienne, mon amie...

J'ai eu envie de lui consacrer un blog à part entière, c'est par ici :
Marmite Norvégienne, mon amie  

Il semblerait qu'il ne soit pas encore accessible à tous, merci de votre patience et compréhension

lundi 12 septembre 2011

Oeufs durs longue durée


Une façon de conserver longtemps les oeufs...
On prépare des œufs durs. Une fois refroidis, la coquille ôtée, on les met dans un bocal en les recouvrant de vinaigre de cidre ou de vin*. On ferme le bocal et c'est tout. Au bout d'une semaine, ils ont déjà pris le goût du vinaigre. On puisera dans le bocal au fur et à mesure des besoins. Ces œufs peuvent ainsi se conserver plusieurs mois, hors frigo. Évidemment, ils sont très fortement vinaigrés, mais ils passent bien dans une salade.
J'ai fait l'expérience d'en "oublier" un pendant ..un an et il était tout à fait comestible. Pas plus fort en vinaigre que ses compères ayant séjourné jusqu'à 3-4 mois dans le vinaigre.


* édit : froid, inutile de faire bouillir ou chauffer.

dimanche 24 juillet 2011

Le four solaire reprend du service !


Un peu en piteux état (il était déjà de récup et il reste dehors toute l'année), mais toujours efficace, avec la complicité du soleil bien sûr... le four solaire reprend du service !

Le problème c'est surtout de lui trouver une place ( il y a des arbres autour, donc de l'ombre et l'on n'a pas envie de le déplacer sans arrêt). Avec une place fixe, c'est du matin pour le midi (quand il y a du soleil bien sûr) qu'il est le plus opérationnel... Le plat noir en fer (en 2 parties, trouvé en vide-grenier) permet de loger et de recouvrir un plat à four en céramique.

Le principe : mettre un fond d'eau pour les légumes, ou 1 verre 1/2 d'eau pour un verre de riz 1/2 complet, plus par ex.- des légumes, une viande ou un poisson par dessus etc., couvrir et cuire environ 3 heures... ça permet aussi de cuire sans gras (même pas besoin de huiler le plat).
Les mets sont très goûteux, cuits à point, ça ne brûle pas, n'accroche pas... 
Quelques cuissons faciles et appréciées (préparation ultra rapide le matin vers 9 heures pour le repas de midi) :

 Un lit de quinoa (1 petit verre), courgettes, tomates, poivrons, aubergines,sel,  aromates, 1 petit verre d'eau compte tenu du fait que les légumes vont rendre du jus...

 Courgettes, aubergines, tomates, aromates, un tout petit fond d'eau (les légumes en rendent) et par dessus des saucisses... 

Un fond de riz 1/2 complet (un petit verre+le même petit verre et demi d'eau ), des poivrons, oignons, laurier, citron, sel, poivre...et deux poissons par-dessus... (pas d'huile)
Une couche de tomates, poivron, aubergine, courgette en tranches, basilic frais, un peu d'eau (mais les légumes en fourniront), sel, poivre, et des oeufs cassés par dessus...

samedi 23 juillet 2011

Betteraves lacto-fermentées

La recette que j'ai donnée dans le dernier Biocontact n'étant pas très détaillée, j'ai  profité des betteraves nouvelles proposées sur les étals bio du moment pour me remettre aux légumes lacto-fermentés...  (voir aussi ici )

Pour 1 kg de betteraves (il en faut moins, car comme on le verra c'était un peu trop pour le bocal de 750 ml )

- Faire bouillir 1 litre d'eau additionnée d'une cuillère à soupe bombée de gros sel (30g env.). Laisser bien refroidir.
 Râper les betteraves lavées, brossées (éventuellement épluchées) dans un saladier, mais pas toutes d'un coup. Ajouter 5 gousses d'ail râpées.

Remplir le bocal  en tassant bien. Compléter en râpant d'avantage de betteraves si nécessaire.
S'arrêter à 3 cm environ du haut.
Remplir petit à petit avec l'eau salée, les légumes doivent être recouverts, mais s'arrêter à environ 3 cm du haut.
Fermer le bocal avec son couvercle mais sans visser à fond.
Par précaution, poser le bocal sur une assiette creuse, à température ambiante, pendant une petite semaine. La fermentation démarre assez vite en été...
Comme il restait de l'eau salée, j'ai fait aussi des haricots verts lacto-fermentés. ( juste des haricots verts ) Là, impossible de tasser, j'ai complété avec l'eau salée en m'arrêtant à peu près à 3 cm du bord, c'est normal qu'ils flottent

Au bout de 2 jours, comme j'avais dû trop tasser, le pot de betteraves a commencé à déborder sous l'effet de la fermentation... d'où l'intérêt de placer les pots dans une assiette. Cela a continué un jour ou deux, je me suis contentée de vider l'assiette, je me suis bien gardée d'ouvrir le bocal. 



Après ça s'est calmé et j'ai attendu une dizaine de jours avant de déguster. Aucune moisissure ni signe suspect. Goût un peu aigrelet, la betterave perdant aussi un peu de son goût sucré au passage. Rien d'anormal donc. Le bocal aurait pu se garder bien davantage, mais comme il y avait eu ce débordement on ne sait jamais et j'ai préféré l'ouvrir "pour voir". Maintenant, il s'agit de consommer son contenu assez vite car une fois entamé, il vaut mieux ne pas le garder trop longtemps. D'où aussi l'intérêt de faire des bocaux plutôt petits.
Pas de souci pour les mélanger à de la salade verte, ou des carottes râpées etc., ou bien comme ici, photo particulièrement ratée, désolée, avec des tomates, du basilic et de l'huile d'olive, pas besoin de saler.

Les haricots verts ont l'air de bien se comporter, ils peuvent attendre, à suivre !












jeudi 30 juin 2011

Cuisiner sans feu ou presque


En été, par de fortes chaleurs, quand on essaie de préserver un peu de fraîcheur dans la maison, la cuisine peut vite devenir une pièce à fuir si l'on y fait de longues cuissons. Le four est redoutable dans son genre, les plats mijotés sur le feu aussi, voire même la cuisson à la vapeur qui prend 15 minutes en moyenne. Heureusement, la nature nous apporte tout le nécessaire pour concocter d'imaginatives ou de conventionnelles salades, crudités et autres recettes non cuites, mais il serait dommage de renoncer à des plats d'été bien tentants comme la soupe au pistou, ou la ratatouille par exemple, qui nécessitent une cuisson assez longue.
Eh bien la marmite norvégienne est là pour nous servir !
J'en ai parlé ici, , ou (expériences avec des caisses diverses) et même sans caisse, avec une couette ici , comme quoi ça marche toujours. 
Pourquoi ne pas profiter de l'été où les plats mijotés sur la cuisinière ne sont pas les bienvenus pour entretenir la fraîcheur, pour l'expérimenter ? Quand on sait que certains plats ne  demandent que 10 minutes de cuisson, il serait dommage de ne pas se lancer !

Rappel rapide du principe de la marmite norvégienne (je me cite) :
porter un plat à ébullition dans une cocotte en fonte ou en inox épais, disposant d'un bon couvercle, remplie presque à ras bord, puis cuire au moins 5 minutes à feu doux – jusqu'à 15 minutes s'il y a de la viande ou des aliments plus « coriaces » (on estimera ce temps à l'usage). Ensuite, il suffit de placer cette cocotte fermée dans le carton ou la caisse, posée sur un dessous-de-plat en liège ou autre (pas directement sur le fond), et de l’emmitoufler en bourrant la place vide avec des tissus ou des pans d’une couverture qui seront lavés régulièrement.
Recouvrir de tissu épais pour que la chaleur ne s'échappe pas et refermer soigneusement la caisse ou le carton. Poser éventuellement un poids dessus. Le tout doit rester absolument froid à l'extérieur, il faut donc bien isoler afin que la précieuse chaleur ne s'échappe pas !

Après on peut vaquer à ses occupations, le plat continue de cuire sans feu dans la caisse. Pratique du matin pour le midi ( le plat sera encore chaud le midi) ou du matin pour le soir où il suffira juste de réchauffer.
Cela convient surtout aux plats mijotés (pot-au-feu etc), aux légumineuses, céréales complètes... S'il y a des légumes, ils seront cuits mais pas réduits en bouillie comme sur le feu en continu.
A l'usage, on s'aperçoit qu'on change moins souvent la bouteille de gaz et en été la cuisine reste fraîche !

Lien+discussion (entre autres) sur la marmite norvégienne :

Une recette pour l'été... 
Soupe au pistou à la marmite norvégienne (recette testée l'été dernier, notée d'après une balance de ménage pas très précise, et là je n'ai pas encore les ingrédients sous la main*) :
environ 200g de haricots coco frais égrenés
1 courgette, 1 poivron vert, 1 tomate, 1 carotte (assez gros sinon 2 de chaque), 2 ou 3 pommes de terre moyennes, env.200g de haricots verts, 3 gousses d'ail, 1 oignon, sel, poivre, quelques pâtes, et du basilic, de l'ail, de l'huile d'olive et du parmesan pour le pistou.

Pour gagner du temps, le matin ou au moins 2 heures avant le repas prévu, mettre déjà l'eau à bouillir dans une cocotte qui ferme bien, remplir en tenant compte du futur volume des légumes. Égrener les haricots cocos et les mettre à cuire en premier. Couper finement tous les légumes et les verser dans la cocotte, veiller à ce qu'il y ait environ 3 cm de liquide au-dessus d'eux. Saler, poivrer, refermer et cuire encore 10 minutes après reprise de l'ébullition.
Ôter du feu et placer tout de suite  la cocotte fermée dans la marmite norvégienne qui peut très bien être une simple couette ( voir ici )..
Au moment du repas, pour les pâtes, remettre la cocotte sur le feu et ajouter une ou de poignées de pâtes (coquillettes ou spaghetti sectionnés). Pendant les 5-10 minutes nécessaires à leur cuisson , préparer le pistou : piler du basilic, de l'ail, un peu de sel  dans un mortier en ajoutant de l'huile d'olive, certains ajoutent le parmesan râpé à ce moment-là, je préfère qu'il soit à part.






* édit du 03/07/11 : maintenant je les ai ;-) et la première soupe au pistou de l'année continue de cuire sagement dans la caisse norvégienne ! Évidemment j'ai modifié la recette, pas de carottes, plus de courgettes, mais le principal y est !

dimanche 8 mai 2011

Boutons de coquelicot au vinaigre

J'ai découvert cela l'an dernier chez des amis, j'avais apprécié le petit goût curieux et surtout trouvé ça très original comme alternative aux cornichons,  ou bien parsemés dans une salade non vinaigrée; je m'étais promis d'en faire à la saison. (Le coquelicot est comestible)  Rien de plus simple : ramasser les boutons fermés, les mettre dans un bocal, couvrir avec du vinaigre. J'ai utilisé du vinaigre de cidre, ceux que j'avais goûtés étaient au vinaigre d'alcool, un peu trop fort à mon goût.
Si des boutons s'ouvrent, le liquide sera encore plus teinté de rouge. Ils surnagent un peu au début puis finissent par couler ( ici 15 jours après ) :


Attendre un mois ou deux avant de goûter... Ce que je n'ai pas fait et constaté au bout de 15 jours que le vinaigre de cidre dominait celui du bouton de coquelicot qui évoque un peu la noisette fraîche...
Je tente l'expérience avec un vinaigre plus "discret", du vinaigre de miel, à suivre ! 




dimanche 10 avril 2011

Tartare d'orties


Remplir un petit bocal où peut se loger un mixer plongeant avec :
des feuilles d'ortie jeunes et fraîches (gants vivement conseillés), un peu de jus de citron, une gousse d'ail tranchée, de l'huile d'olive. Mixer soigneusement, en s'y reprenant plusieurs fois et si besoin compléter avec de l'huile.
Je préfère cette méthode car on peut en faire de petites quantités à la fois et varier les ingrédients ( câpres, cornichon, échalote.., un peu comme avec le tartare d'algues).
Délicieux en tartines ou pour accompagner avocat, œuf dur...

samedi 2 avril 2011

Pâte à tartiner "Saussoun"

Le fenouil sauvage commençant à repousser à vue d'œil, c'est le moment de profiter de ses fines feuilles : en mélange dans une salade ou dans une pâte à tartiner d'origine varoise, le "saussoun", dont voici une adaptation :

Ingrédients :
2 cuillerées à soupe de purée d'amandes complète (ou bien comme dans la tradition, piler  une poignée d'amandes décortiquées )
au moins 5 filets d'anchois  conservés dans l'huile d'olive
Un petit bouquet de fenouil frais
Un petit bouquet de menthe fraîche
1 bon filet d'huile d'olive (ou de celle des anchois )
2 grosses gousses d'ail 
Dans un mortier, piler les anchois avec l'ail et les fines herbes, ajouter la purée d'amandes, allonger avec l'huile d'olive. Bien mélanger le tout. Cette sauce s'utilise en canapés, en accompagnement de légumes cuits à la vapeur, avec des œufs durs etc.





jeudi 24 mars 2011

Cuisiner en toute simplicité : Le livre !

Voilà ça y est il est paru ! Que de chemin parcouru depuis les publications de la petite coop bio, puis les forums, les blogs... Quelle aventure  aussi, n'est-ce pas Kay Wernert, ma chère illustratrice ? ça n'est pas peu dire que cent fois sur le métier nous avons remis notre travail à l'ouvrage... Il valait mieux ne pas compter ! Je ne suis pas du tout à l'aise dans l'auto-promotion, ça serait plutôt le contraire, genre ne l'achetez pas, empruntez-le, faites-le circuler... Alors le mieux est que vous alliez le feuilleter si vous le trouvez en magasins bio ou autres dans quelque temps, voyez s'il peut vous aider dans votre démarche vers une cuisine plus simple et plus adaptée à vos convictions, et puis on en discutera ici ;-)
On peut déjà en avoir un aperçu sur le site de l'éditeur :
4eme de couverture
Extrait ( intro et sommaire) 

J'en profite pour remercier les habitués de ce blog qui m'ont sans le savoir aidée lors de l'élaboration du livre et dont les commentaires et les encouragements me sont très précieux.





vendredi 11 mars 2011

Asperges sauvages en omelette

La récolte a été bien meilleure que la dernière fois, tout ça sans prendre la voiture, juste en se promenant dans la colline... 

Là ça n'est plus une crêpe , les asperges dominent !


Juste 3 oeufs pour ce beau bouquet, les asperges à peine revenues restent croquantes et c'est un régal !

jeudi 10 mars 2011

Crêpe d'omelette

La récolte d'asperges sauvages -asparagus acutifolius-  ayant été plus que symbolique car c'est le tout début, (on est loin des quantités de ce blog mais ça viendra ;-)) ça n'était pas une raison pour se priver d'omelette. Avec juste un oeuf battu avec une pincée de sel et une autre de poivre, cela permet de faire une sorte de crêpe, très facile à retourner (encore que cette opération n'est pas forcément indispensable).
J'ai à peine fait revenir les asperges coupées dans une crêpière en tôle d'acier, puis hop l'oeuf battu. C'est très vite mangé, mais faute de mieux...
On peut aussi couper ce type d'"omelette-crêpe" en lanières après l'avoir roulée sur elle-même, cela décore et agrémente un plat de riz (façon riz cantonnais), ou en faire plusieurs et les tartiner comme des crêpes, avec par exemple de la tapenade...

mardi 1 mars 2011

Pâte à tartiner chocolat-noisettes


C'est une statistique épouvantable à propos d'une célèbre pâte à tartiner mondialement connue et consommée ( consommation mondiale du N... par seconde ) qui me donne envie de ressortir une recette-maison :

Pâte à tartiner chocolat-noisettes
Recette de base, à adapter selon les goûts en ajoutant/réduisant les doses...
Dans un bocal, mélanger :
1 cuillère à soupe de poudre de cacao sans sucre
2 cuillères à soupe de sucre intégral (ou 1 de sucre roux fin)
2 cuillères à soupe de lait, végétal ou pas, ou d'eau (ou essayer l'huile d'olive, ça va bien avec le chocolat  si si !)
Puis, ajouter 3 bonnes cuillères à soupe de purée de noisettes.
Facultatif aussi : saupoudrer d'un peu de vanille en poudre ou raclée. 
Mélanger soigneusement. Succès assuré aux goûters des petits et grands !
Se garderait une bonne semaine si on lui en laissait le temps...





vendredi 25 février 2011

Vaisselle à la main ou à la machine ?

Une fois n'est pas coutume, une petite vidéo sympa de la série des  « faudrait savoir » de l'Ademe, dans lesquelles on compare l’impact de produits très courants pour  aider à choisir celui qui est le plus écologique...  




Pas grand chose à rajouter, si ce n'est que la vaisselle à la main est plus agréable à faire si c'est à plusieurs ou à tour de rôle, si elle n'est pas trop sale ( faire tremper les plats qui ont accroché ou qui doivent attendre le lavage)... Les liquides vaisselle, même les écolos, gagnent à être dilués, ça lave aussi bien et on en gaspille moins. On peut aussi profiter de la complicité d'un chat ou d'un chien qui se charge du prélavage...